Adrienne

Paroles:
« Qu’est-ce qu’il est parfait de partout en tout point.
Rien qui dépasse.
Faut qu’j’arrête de m’le dire.
C’était un rêve éveillé, pas la foudre.
L’activation du mode séduire.
Mais le mec est un robot de l’amour.
Il dit tout ce que tu veux entendre.
Cherche pas à comprendre.
s’il a tout ce qu’il faut, c’est parce que c’est un robot de l’amour.
le mec est un robot de l’amour.
Il dit tout ce que tu veux entendre.
Cherche pas à comprendre.
s’il a tout ce qu’il faut, c’est parce que c’est un robot de l’amour.
Super héros du genre Thomas Pesquet en plus beau. Distributeur de mot doux qui s’en fout. Beau gosse servi sur mesure, ken grandeur nature.
C’est Keanu Reeves en moins mou ».

Biographie

Forte d’un cursus musical exigent au conservatoire, en chant jazz et lyrique, Adrienne, de son vrai nom Sophie Rakotomalala, est une artiste espiègle qui joue de toutes les possibilités que lui offre sa voix claire, précise et sensible. Elle participe à plusieurs projets d’esthétique variés, comme les groupes Zabumba (musique brésilienne), Eusebes & Makhimos (jazz) ou l’Itibere Orchestra Familia Da França, dirigé par le grand Itiberê Zwarg. Mais c’est son intérêt pour la guitare qui donnera à sa démarche artistique une dimension beaucoup plus personnelle.

D’influences multiples, allant de Matthieu Chedid à Mickael Jackson en passant par Djavan, Jamiroquai, ou encore Ella Fitzgerald ou Carmen Mcrae, elle se découvre compositrice compulsive à la recherche d’une musique feelgood qui fusionne tout ce qu’elle aime. Armée de son timbre délicat et de sa guitare qu’elle ne quitte jamais, Adrienne propose un univers où la pop, la samba, le funk, le jazz et la chanson française se rencontrent dans une fête explosive.

Au-delà de sa musique, Adrienne incarne la voix authentique d’une femme artiste déterminée à se faire entendre. C’est une histoire d’émancipation artistique et de célébration de la diversité musicale qui commence.

1er EP: Flashy & Fripes

Avec ce premier EP, intitulé flashy & fripe, Adrienne plante son décor. Imprégnée par son amour pour la pop, la musique brésilienne et le jazz, elle nous raconte des histoires d’amour, d’amitié, parfois vécues, parfois imaginées et nous livre sa vision d’un monde avec second degré et autodérision. Adrienne compose en français avec sa plus fidèle alliée, sa petite guitare de voyage – Son mindset : « ma guitare, je préfère l’amener pour rien plutôt que de regretter ne pas l’avoir prise ». Mais pour la réalisation, elle fait appel au talentueux multi-instrumentise Guillaume Farley qui comprend tout de suite le potentiel de sa musique et qui apporte la touche funky dont le projet avait besoin. C’est donc en tandem qu’il donneront naissance à ce premier EP d’un groove rafraichissant, avec toutefois la participation spécial de Max Pinto aux saxophones, trompette et flute. Un petit bijou qu’Adrienne a désormais hâte de dévoiler au grand public.

Guillaume Farley à la réalisation

Des premières parties avec son groupe Naturalibus il y a quelques année (Vanessa Paradis, Julie Ferrier ou Thomas Dutronc) aux collaborations plus récentes avec Matthieu Chedid, Grand Corps Malade, Youssou N’Dour, Sandra Nkaké, Richard Gotainer ou encore Michel Fugain, Guillaume est un musicien à la fois éclectique, insolite et mélancolique. Après avoir tourné pendant 6 ans en solo, Guillaume Farley se devait d’intégrer Edouard Coquard (batterie) et David Hadjadj (claviers) pour former un trio probant, c’est chose faite. C’est à l’image du Guillaume que l’on connait – ou pas – que ce trio évolue sur le désormais long répertoire du troubadour. Qui ne s’est pas demandé si Farley possédait un univers ? Un style reconnaissable à chaque introduction ? Non, Farley s’étale sur un éventail culturel qui réclame plusieurs opus pour en saisir l’essence, et peut-être plusieurs écoutes pour en apprécier les finesses et les barbaries. Mais Guillaume sur scène donne une lisibilité supplémentaire qui désarme les obtus. Normal, on croit qu’il vient sans arme. Le nouveau spectacle « Blindé » nous promène sur ce mélange de chanson-pop-funk, exécuté par des pros en pleine récré, on aimerait faire les oufs avec eux

https://www.guillaumefarley.com

Avec la participation spéciale de Max Pinto

Multi-instrumentiste et compositeur, Max Pinto remporte de nombreuses récompenses avec son quartet jazz (1er prix Jazz à Vienne, 1er prix jazz à Vannes, vainqueur des trophées du Sunside, 1er prix Festival Jazz d’Enghien, nomination IFJO international talent award).Il collabore et se produit dans le monde entier avec des artistes tels que : Pascal Obispo, Bernard Fowler, Ludovic Louis, Will Calhoun, Wayne Dockery, Peter Erskine, Manu Katché, Fred Nardin, Monophonics, Franck Lacy, Ben l’oncle soul, … Ses expériences très variées enrichissent sa musique qui s’est forgée, à l’origine, sur le jazz et la musique improvisée. Il ne s’interdit pas d’utiliser les codes du hip-hop et de l’électro à la sauce funky.